
Imaginez une administration de plusieurs milliers d’agents, répartis à travers le monde, qui n’utilisent (presque) plus de mails. Imaginez que cette administration traite chaque jour des centaines d’informations géopolitiques ou économiques ultrasensibles, grâce à un outil qui s’apparente à Google+. Imaginez que cette administration d’Etat embarque dans son projet d’autres ministères, malgré les silos et les étanchéités. Imaginez, enfin, que ce réseau social soit ouvert largement aux publics...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire